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Faut-il passer par autant d’échecs pour réussir ? Faut-il être au bord du gouffre pour réussir ? Faut-il autant souffrir pour réussir ?

Cet article est juste mon avis personnel, je ne dis pas qu’il s’agit de la vérité absolue, ceci est juste mon point de vue à un point donné de ma vie et il y autant d’interprétations possibles qu’il y a d’individus sur cette planète.

J’espère que vous aimez lire, car cet article risque d’être un peu long.

J’ai débuté mon challenge d’arrêter YouTube pendant 30 jours pour me consacrer uniquement à mon blog et voir ce que cela va donner, au niveau de mon bien-être, de ma motivation, des résultats et de mon audience.

Cet article est le premier d’une série d’une dizaine d’articles qui vont suivre.

Sur le blog, j’écris au moment présent, selon l’inspiration du moment.

J’écris en ce moment depuis mon lit, il est 22h passé et l’avantage premier d’écrire uniquement sur un blog, c’est qu’il n’y a aucune préparation, pas besoin d’être bien physiquement et moralement. Ce qui m’arrange particulièrement, car la journée que je viens de passer a été très difficile mais cette journée difficile m’a aussi inspiré cette idée d’article.

Je suis une fille assez compliquée qui déteste quand il n’y a aucun challenge sinon je m’ennuie assez rapidement. Parfois oui je me demande si je ne suis pas un peu sadique mais j’ai l’impression que la victoire est beaucoup moins « savoureuse » s’il n’y a aucun défi ou échec.

C’est mon mode de fonctionnement et dans l’entrepreneuriat, c’est beaucoup ainsi, alors dans un sens, on peut dire que ça m’arrange car je sais que la place à prendre (et à garder) dans ce milieu n’est pas facile. Je crois aussi, qu’il y a derrière une peur de la réussite et du bonheur, ou simplement une croyance que les choses doivent être difficiles et compliquées pour les obtenir.

Vous savez à quel point entreprendre et développement personnel vont de paire. Nous avons besoin de travailler sur nous-même pour réussir au fur et à mesure. Sans ça, sans l’état d’esprit qui constitue 80% de vos chances de réussite, ce sera difficile.

Il y a un facteur qui fait que j’ai l’impression que plus c’est difficile de réussir, plus nous avons « faim » de réussir.

Ce que je veux dire par là, c’est qu’une personne qui vient d’un milieu pauvre ou modeste, aura beaucoup plus la rage de réussir qu’une personne qui vient déjà d’un milieu aisé.

Je m’en rends compte moi-même. Je viens d’un milieu « moyen » mais qui a connu quelques périodes difficiles quand j’étais enfant. Lorsque j’ai voulu entreprendre, j’ai voulu tout de suite ma liberté et mon indépendance, même si j’étais encore étudiante et que c’était clairement au-dessus de mes moyens, même avec une bourse.

Ma liberté était plus importante que le côté financier, j’en étais venu à manger des tranches de pain de mie avec du beurre midi et soir mais qu’importe…j’étais libre. Les seules fois où je mangeais à ma faim, c’était quand mon petit ami m’invitait au restaurant.

Cette période ne me laisse pourtant pas un souvenir amer parce-que je savais que j’allais y arriver. J’avais la rage de réussir et je ne pouvais que réussir en ayant aussi faim (dans tous les sens du terme).

Et j’ai réussi…au fur et à mesure… je vis aujourd’hui dans une villa si grande que je ne sais pas quoi faire de toutes mes pièces, je ne regarde plus les prix, si j’ai besoin ou envie de quelque chose je le commande, je pars en voyage quand j’en ai envie dans des endroits de rêve, je peux même emmener ma famille avec moi et leur en faire profiter.

J’ai plus de 38 000 personnes qui me suivent sur YouTube, j’ai des programmes en ligne dont certains ont été suivi par plus de 1200 personnes et j’ai donné la possibilité à certains de mes clients de devenir libre et de quitter leur travail.

Alors je pense que oui, partir de rien peut vous permettre un jour d’avoir tout.

Sinon, sur le fait de beaucoup souffrir pour réussir, pas forcément, surtout avec toutes les formations que l’on a désormais à disposition. Nous pouvons acheter le savoir et l’expérience d’un entrepreneur qui a réussit en 2 minutes et tout simplement recopier son procédé.

Nous disposons aujourd’hui des armes nécessaires pour échouer le moins possible. Si vous recopiez un modèle qui fonctionne déjà, alors pourquoi vous échouerez ? C’est en innovant, en voulant faire différemment que vous risquez de douter et d’échouer.

Le problème, et c’est peut-être le vôtre aussi, c’est que pour ma part, je n’aime pas « recopier bêtement » ce que fait un autre, parce-que ça ne me correspond pas toujours. Et même si ça me correspond un minimum, j’ai envie de me l’approprier et de faire les choses à ma façon.

Je suis en plus l’une des rares filles dans la thématique du marketing internet alors c’est parfois un peu compliqué de reprendre un modèle qui fonctionne déjà chez un homme pour faire de même à mon tour. L’audience n’est pas la même non plus. Mon audience est d’ailleurs très équilibrée d’après mes statistiques YouTube : 50% d’hommes et 50% de femmes alors que chez mes « concurrents » c’est de l’ordre de 90% d’hommes.

Alors je finirai par dire que la souffrance peut être évitée dans beaucoup de domaines si : on apprend à se connaitre, qu’on écoute son intuition et qu’on prend en compte aussi les erreurs des autres pour ne pas les reproduire.

Seulement voilà : nous apprenons seulement de nos erreurs et pas celles des autres

Et l’erreur fait souffrir… mais elle est nécessaire…

Qu’en pensez-vous ?

Nina

Nina Habault

Experte dans le WebMarketing depuis 8 ans, spécialisée dans le marketing d'affiliation. Je conseille les entrepreneurs à se créer une source supplémentaire de revenu en vendant les produits des autres (logiciels, cours, services)

2 Comments

  1. Personnellement, je pense que l’on passe tous par la souffrance lorsqu’on entreprend. Pas nécessairement physiques, financière etc mais même psychologique. Pour ma part, je me lance actuellement dans l’infoprenariat. Et le truc c’est que c’est tout nouveau pour moi, et c’est très dur parce que je suis constamment en stress pour rien. C’est à dire je veux être dans une niche assez rentable mais qui n’est pas vraiment ma passion. De ce fait, je me pose tout le temps la question, <> sans compter les applications qui parfois posent chichi etc etc. Bref, je suis constamment en train de me poser des questions et je pense que c’est déjà une souffrance qui doit me pousser à réussir.
    Mais je pense aussi que tout ceci devient plus dur car il y a de plus en plus de concurrence dans tous les domaines, ça devient dur de trouver sa place.

    1. Oui, se poser beaucoup de questions est aussi une forme de souffrance, je ne sais pas si tu avais vu ma vidéo à ce sujet : le doute vous veut-il du bien ?

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